Je viens de prendre un contact téléphonique avec ma neurologue parisienne docteur S. Je lui ai fait un bilan rapide sur l'évolution de mon état clinique à deux mois de mon angioplastie.
Elle s'est montrée particulièrement attentive et intéressée, m'a informé qu'elle allait participer prochainement à un congrès animé par des américains et des canadiens sur le sujet du CCSVI.
C'est très encourageant car lorsque je l'avais vue en avril 2010 et lui avais parlé de la thérapie de libération, elle s'était montrée extrêmement réservée, et c'est un euphémisme !
D'autant plus encourageant qu'elle a utilisé le terme de "pionnier" pour parler de mon engagement dans l'aventure CCSVI alors même qu'en plus de son activité libérale, elle est attachée à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière et donc dans le "sérail" des pontes de la neurologie française, peu accoutumés à interroger l'ordre établi.
Je la vois à Paris le 28 octobre prochain (juste à la suite de mon doppler de contrôle) et vous en dirai plus après cette entrevue.
Les choses avancent, même en France les esprits s'ouvrent petit à petit ...
Elle s'est montrée particulièrement attentive et intéressée, m'a informé qu'elle allait participer prochainement à un congrès animé par des américains et des canadiens sur le sujet du CCSVI.
C'est très encourageant car lorsque je l'avais vue en avril 2010 et lui avais parlé de la thérapie de libération, elle s'était montrée extrêmement réservée, et c'est un euphémisme !
D'autant plus encourageant qu'elle a utilisé le terme de "pionnier" pour parler de mon engagement dans l'aventure CCSVI alors même qu'en plus de son activité libérale, elle est attachée à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière et donc dans le "sérail" des pontes de la neurologie française, peu accoutumés à interroger l'ordre établi.
Je la vois à Paris le 28 octobre prochain (juste à la suite de mon doppler de contrôle) et vous en dirai plus après cette entrevue.
Les choses avancent, même en France les esprits s'ouvrent petit à petit ...