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    Societé Canadienne de la SEP et CCSVI

    Domyleen
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    Message  Domyleen Sam 5 Juin 2010 - 1:27


    Société Canadienne de la SEP:

    À la suite de la couverture médiatique des travaux d’un chercheur italien, le Dr Zamboni, l’hypothèse que ce dernier a émise, voulant qu’une insuffisance veineuse céphalorachidienne chronique joue un rôle dans la SP, a suscité un vif intérêt. Le Dr Zamboni a avancé 1) que les principales voies de drainage (veines jugulaires internes et veine azygos) du sang du cerveau et de la moelle épinière étaient toujours rétrécies chez les personnes atteintes de SP, mais jamais chez les personnes non atteintes de cette maladie, et 2) que la dilatation de ces veines peut avoir un effet bénéfique.
    D’autres chercheurs tentent actuellement de reproduire le plus rapidement possible les résultats obtenus par le Dr Zamboni et de déterminer l’importance de ses observations.
    En premier lieu, les chercheurs ont essayé de confirmer la présence d’anomalies veineuses chez les personnes atteintes de SP, puis de comprendre le rôle possible de ces anomalies dans le déclenchement de la maladie.
    Le groupe de chercheurs du Neuroimaging Analysis Center (centre d’analyse en neuro-imagerie) de Buffalo vient d’annoncer les résultats préliminaires de son étude effectuée auprès de 500 patients soumis à la technique employée par le Dr Zamboni, soit l’échographie Doppler veineuse des vaisseaux transcrâniens et extracrâniens. L’équipe a l’intention de livrer des résultats détaillés à la réunion de l’académie américaine de neurologie, qui aura lieu à Toronto, à la mi-avril. L’équipe recherchait la présence d’anomalies veineuses chez les personnes atteintes de SP et les témoins (personnes non atteintes de SP) appariés selon l’âge. En se basant sur les critères de diagnostic de l’IVCC élaborés par le Dr Zamboni, ils ont décelé des anomalies chez 55 % des personnes atteintes de SP et chez 26 % des témoins et ont recensé des cas limites (10 % du reste du groupe des personnes atteintes de SP). Ces résultats ne concordent toutefois pas avec ceux du Dr Zamboni selon lesquels des anomalies veineuses étaient présentes chez toutes les personnes atteintes de SP, sans exception, et inexistantes chez les témoins. Il est donc possible que des anomalies veineuses soient associées à la SP ou augmentent le risque d’avoir cette maladie, sans en être la cause, mais cette possibilité n’a pas encore été confirmée. Grâce aux rentrées de fonds pour la recherche qu’a généré l’intérêt des Nord-Américains pour les travaux du Dr Zamboni, d’autres équipes de chercheurs du Canada et des États-Unis envisagent de mener des études sur le sujet ou tentent présentement de déceler la présence d’anomalies veineuses chez les personnes atteintes de SP et d’en déterminer l’importance.
    Les résultats de tous ces travaux sont attendus avec impatience car ils permettront de définir la nature exacte du lien possible entre les anomalies veineuses et la SP. De nombreuses questions demeurent toujours sans réponse. À titre d’exemple, entre bien d’autres : Les zones rétrécies sont-elles de véritables occlusions ou simplement le résultat d’une déformation ou d’un élargissement souvent observés dans les veines? Quel rôle pourraient jouer les anomalies veineuses dans la SP? Comment expliquer l’absence de telles anomalies chez un grand nombre de patients si ces dernières contribuent de manière importante au déclenchement de la maladie? Pour quelles raisons certaines personnes porteuses d’anomalies veineuses n’ont pas la SP, comme on l’a constaté chez 26 % des participants à l’étude de Buffalo? Comment se fait-il que des personnes présentant de telles anomalies veineuses à la suite de l’introduction d’un cathéter central dans la veine jugulaire, par exemple, n’aient pas eu la SP, même si cette veine risquait de se bloquer? Comment les quatre types d’anomalies veineuses décrits par le Dr Zamboni peuvent-ils expliquer les innombrables manifestations de la maladie? En quoi ces anomalies seraient-elles liées aux effets connus du taux de vitamine D sur la population à risque de SP? Pour quelles raisons les immunomodulateurs et immunodépresseurs sont-ils efficaces contre la SP si cette maladie est causée par une mauvaise circulation sanguine? Pourquoi observe-t-on des anomalies immunitaires dans le sang et le liquide céphalorachidien des personnes atteintes de SP si le problème est d’origine vasculaire?

    Le Dr Zamboni a également livré les résultats d’une petite étude menée auprès de 65 personnes atteintes de SP dont 35 présentaient la forme cyclique (poussées-rémissions) de la maladie et 30, une forme progressive de SP (20 étaient atteintes de la forme progressive secondaire, alors que 10 présentaient la forme progressive primaire). Il a introduit un cathéter à ballonnet dans les veines des participants, puis a dilaté ces dernières en gonflant le ballonnet (veinoplastie). Ses résultats ont été publiés dans le numéro de décembre du Journal of Vascular Surgery. Dans la plupart des cas, la procédure a permis de garder les veines azygos ouvertes, mais chez un patient en particulier, il a fallu implanter une endoprothèse vasculaire pour garder une de ces veines ouverte. On a observé une resténose (réapparition du rétrécissement) de la veine jugulaire interne chez 47 % des personnes traitées, dans les mois suivant l’intervention. La procédure a été répétée dans ces cas. L’implantation d’une endoprothèse n’était pas envisageable dans la veine jugulaire interne, étant donné que les modèles actuels (conçus pour les artères) risquaient, selon le chercheur, de se déplacer et donc d’entraîner des complications qui peuvent menacer la vie du patient.
    L’étude n’était ni ouverte, ni comparative, ni a répartition aléatoire. Dans le domaine de la SP, de telles études peuvent aboutir à l’élaboration d’hypothèses, mais peuvent aussi poser des problèmes, comme le Dr Zamboni l’a reconnu dans ses conclusions (soulignant que le protocole de l’étude pouvait fausser les résultats). Néanmoins, il s’agissait d’un point de départ dans l’examen de l’hypothèse avancée. Quant aux résultats de l’étude, mentionnons qu’aucune différence statistiquement significative n’a été relevée dans le taux annualisé des poussées, mais que les patients présentant la forme cyclique (poussées-rémissions) de SP avaient tendance à avoir moins de poussées que durant l’année précédant l’étude (27 % comparativement à 50 %). De plus, une réduction du nombre de lésions rehaussées par le gadolinium, mises en évidence par l’IRM, a été observée chez les personnes atteintes de SP cyclique. Celles-ci déclaraient également que leur qualité de vie s’était améliorée. L’interprétation des résultats a posé certaines difficultés en raison surtout de l’absence d’un groupe témoin dans l’étude. Or l’intégration d’un groupe témoin est essentielle dans la recherche en SP, comme dans la plupart des essais cliniques d’ailleurs, même si ce groupe (qui ne reçoit pas le traitement) montre une amélioration par rapport à l’année précédant l’étude. Et si le traitement est efficace, il doit donner des résultats significatifs, c’est-à-dire supérieurs à ceux du placebo. Par ailleurs, nous ne savons pas quelle définition était donnée à la poussée au cours de l’année précédant l’étude et après le traitement. Il faut savoir que cette définition peut faire varier de manière significative les taux de poussées enregistrés. Qui plus est, les examens IRM n’étaient pas effectués à intervalles réguliers ni avec les mêmes appareils, ce qui rend difficile l’interprétation des données IRM. Ajoutons que la plupart des patients présentant la forme cyclique de SP prenaient un immunomodulateur. Cette précision a été omise dans les récents articles et reportages sur le sujet. En conséquence, il est ardu de déterminer précisément les facteurs à l’origine de la diminution de l’activité de la maladie. La méthode qui fut utilisée pour mesurer l’incapacité est connue pour ses effets attribuables à une répétition des tâches. Or ces effets n’ayant pas été pris en compte dans l’étude, il est impossible de savoir si l’amélioration précoce observée était due à la répétition des tâches ou au traitement lui-même. Malheureusement, les résultats du traitement n’ont pas été très encourageants chez les personnes présentant une forme progressive de SP. En effet, seule une faible amélioration inconstante de la qualité de vie a été constatée.
    Dans l’article sur son étude, le Dr Zamboni souligne, en conclusion, que ses résultats justifient la mise en place d’une étude comparative à répartition aléatoire et à double insu sur l’intervention proposée en tant que traitement combiné à un des immunomodulateurs courants, chez les personnes atteintes de SP cyclique. La moitié des participants serait soumise à une veinoplastie, l’autre pas. Les deux groupes seraient ensuite comparés sans que le patient ni le neurologue examinateur ne sache qui a vraiment subi l’intervention. On pourrait ainsi voir si la veinoplastie a donné de meilleurs résultats que le placebo. Les participants à l’étude feraient l’objet d’un suivi rigoureux ayant pour but de révéler tous les risques possibles de l’intervention.
    Bien que l’étude du Dr Zamboni n’ait pas révélé d’effets secondaires sérieux, le taux de resténose était passablement élevé. Par ailleurs, selon l’expérience des médecins de Stanford, l’implantation d’une endoprothèse vasculaire comporte des risques importants. En effet, la technique qu’ils ont employée a entraîné un décès et la migration de l’endoprothèse jusqu’au cœur, soit un accident qui a nécessité une intervention chirurgicale d’urgence. Il faudra donc envisager une approche plus sûre. En fait, leur étude a été interrompue en raison de ces graves événements. La recherche prévue sur des interventions potentielles permettra de définir leurs risques. Pour le moment, on s’entend généralement pour dire que la veinoplastie doit être exclusivement réservée aux essais cliniques comparatifs, au même titre que toute nouvelle thérapie proposée.
    La plupart des chercheurs tentent, d’une part, de voir si les anomalies mises en évidence par l’IRM altèrent vraiment la circulation sanguine et, d’autre part, de déceler la nature du lien entre ces anomalies et la SP. Pendant ce temps, d’autres mènent déjà des essais cliniques aléatoires dans le but de s’assurer que la veinoplastie est efficace et de trouver le meilleur moyen de garder les veines ouvertes. Les chercheurs de Buffalo ont annoncé la mise sur pied d’un essai du traitement, et d’autres groupes songent à leur emboîter le pas. Ces travaux viseront à révéler les véritables bienfaits de la veinoplastie et à mieux définir les risques associés aux divers modes d’intervention étudiés. Les participants aux premiers essais seront probablement des personnes atteintes de SP cyclique, comme le suggère le Dr Zamboni. Si le traitement a des effets positifs sur elles, je suppose qu’on le mettra à l’épreuve chez les personnes présentant une forme progressive de la maladie, étant donné que l’étude du Dr Zamboni était trop restreinte pour permettre d’en conclure que l’intervention n’a pas été efficace contre les formes progressives de SP.
    Pour qu’un traitement soit offert au Canada par les programmes publics de soins de santé, il doit s’être montré efficace dans le cadre d’essais cliniques menés en bonne et due forme.
    1) Le traitement doit donner des résultats significativement supérieurs à ceux du placebo (l’étude comporte alors un groupe de personnes traitées qui sera comparé à un groupe de personnes qui croient être traitées).
    2) Les avantages potentiels doivent l’emporter sur les risques potentiels.

    Les cliniciens et les chercheurs à l’œuvre dans le domaine de la SP ont à cœur de ne rien laisser au hasard dans leurs efforts pour stopper la SP. Le formidable intérêt suscité par l’hypothèse du Dr Zamboni permet de drainer les fonds nécessaires à la vérification de celle-ci. La recherche dans ce domaine a donc toutes les chances d’être effectuée rapidement. Suivez toutes les nouvelles relatives à ce dossier et aux autres domaines de recherche sur le site Web de la Société de la SP.

    3/19/2010
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    Message  Invité Sam 5 Juin 2010 - 9:13

    traitement controversé amertume la création dans les élections Société de la SP

    Médecin italien Paolo Zamboni fait les nouvelles du monde avec son traitement expérimental pour la SP, qui a immédiatement suscité des appels pour les études. Alessandro Vincenzi / The Globe and Mail
    Les membres du Conseil divisée sur le soutien de la théorie CCSVI
    article (2) Sarah Boesveld

    Dernière mise à jour le vendredi 4 juin 2010 22h16 HAE


    . La semaine de l'élection Multiple Sclerosis Society's Office national de la prochaine devrait devenir un champ de bataille en tant que membres rallye de fermer les partisans d'un traitement controversé.

    Un e-mail distribué a appelé vendredi les partisans MS Society pour vous inscrire à devenir membres, qui leur donnera le droit de vote.

    Et l'e-mail leur demande d'utiliser ces crédits pour maintenir l'équilibre de l'actuel conseil d'administration, la fermeture effective des candidats qui veulent davantage de ressources pour la recherche sur l'insuffisance veineuse chronique céphalo-rachidien, un nouveau diagnostic qui suggère MS pourraient être causés par des blocages de fer dans le veines.

    Sur la base de cette théorie, médecin italien Paolo Zamboni a revendiqué un certain succès avec une procédure connue sous le nom il a développé le traitement de libération. Publicité au Canada l'automne dernier, il a donné malades une lueur d'espoir, et les avait réclament la procédure que certaines personnes qui l'ont essayé disent a éliminé les symptômes. Il n'est pas disponible au Canada, mais est approuvé certains pays, y compris la Bulgarie, le Koweït et la Pologne. Même les promoteurs de dire la procédure n'a pas été scientifiquement prouvé, et un essai clinique à l'Université de la Colombie-Britannique est juste prépare.

    Le diagnostic et la procédure sont devenues des questions de discorde dans la communauté de la SEP, et de l'Ontario conseil vice-président Valerie Hussey craintes qu'ils pourraient éclipser d'autres recherches importantes en cours de la Société de la SP est la promotion.

    "N'importe qui avec une connexion à MS espoir d'une" libération "guérir", écrit-elle dans la large diffusion e-mail. "Mais est-ce-il vraiment?"

    Dans une interview, la femme de Toronto, qui a un être cher avec MS a dit qu'elle espère que pour maintenir l'équilibre sur l'actuel conseil de 10 administrateurs. Les nouveaux membres qui sont d'ardents défenseurs de CCSVI pourrait orienter la prise de décision dans un sens.

    "Parce qu'il ya ce sentiment d'espoir dans CCSVI, mon souci est que notre approche très équilibrée à la recherche ne peut être affecté, ne peut être modifiée."

    Mais bord candidats Brock Winterton, dont l'épouse, Janet Heisey, a lutté contre la maladie, affirme qu'il est nécessaire d'avoir une voix forte à l'appui de CCSVI et le traitement de libération sur le conseil d'administration actuel. Beaucoup de personnes souffrant MS voudrais essayer ce traitement, qui comprend une échographie ou une IRM, puis une angioplastie qui implique une anesthésie locale, que ce soit dans le cadre d'un essai clinique ou non, at-il dit.

    Il est candidat à un siège avec Linda Molyneux, qui a rejoint le bloqués veines MS Research Group, qui soutient que la Société de la SP n'est pas assez près l'affectation des ressources à l'étude du CCSVI.

    "Nous n'essayons pas de prendre quoi que ce soit loin de tout le monde. Nous ne cherchons pas à diminuer le fonds de recherche qui vont sur les cellules souches et de nombreux autres domaines de la recherche, dit-il. "Nous voulons tout simplement de voir la société MS prendre cela au sérieux et donner la possibilité aux personnes souffrant d'EM pour améliorer leur qualité de vie."

    En Décembre, la Société de la SP a annoncé qu'il inclura des bourses pour étudier les éventuels aspects vasculaires de la maladie. Le montant total des subventions sont 100.000 $, échelonnés sur deux années d'études, et une partie seulement de cette examinera CCSVI, a déclaré Mme président de la Société et le directeur exécutif Yves Savoie. Les résultats du concours seront annoncés CCVSI sur Juin 14.

    Mais le montant de toute 100.000 ne couvrent environ un dixième du coût des essais cliniques démarrage à UBC et à 20 pour cent de ce qui est nécessaire pour effectuer des essais à l'Hôpital de l'Université McMaster Saint-Joseph, a déclaré Kate Bahen, directeur général de la Charité de renseignement, un organisme qui aide les Canadiens à faire des études des dons de bienfaisance.

    "La recherche médicale ne sont pas financés et les gens qui veulent que ces essais financés devrait faire un don directement à la faculté de médecine de l'UBC et St. Joseph's, dit-elle. "Vous n'avez pas à passer par le gars du milieu."

    M. Savoie dit qu'il est heureux qu'il y aura par exemple un débat vigoureux lors de la prochaine assemblée générale annuelle à Toronto samedi prochain lorsque ces votes seront exprimés (les membres peuvent également voter par procuration).

    "Nos membres, beaucoup d'entre eux qui ont la SP, ont mobilisé, ils ont obligé les gouvernements et nous avons appelé à une action rapide", at-il dit. "Et ce que nous voyons est la place de prendre ce débat est partout - la période des questions, des lettres au ministre ... et maintenant sur le sol de notre assemblée générale annuelle. Les gens qui se passionnent pour cette question et que leur voix sera entendue. "

    Au début de mai, le député libéral Kirsty Duncan a exhorté ministre de la Santé, Leona Aglukkaq, de convoquer une assemblée provinciale pour discuter du traitement controversé et distribuer 10 millions de dollars pour une étude plus sur le diagnostic.

    Environ 55.000 à 75.000 Canadiens souffrent de cette maladie débilitante.


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    Message  Invité Dim 6 Juin 2010 - 15:48

    patients atteints de SEP de lancer plaintes relatives aux droits demandingunproven traitement
    Par: Keller Jacques, La Presse Canadienne

    06/06/2010 10:17 | Commentaires: 0
    Imprimer E-mail Partager ThisReport erreur VANCOUVER - sclérose en plaques dans au moins deux provinces se préparent à lancer plaintes relatives aux droits que leur demande d'accès à un traitement non prouvées qui a excité les espérances des personnes vivant avec la maladie dégénérative et déjà incité certaines personnes à rechercher la procédure à l'étranger.

    Un groupe de patients de la Colombie-Britannique et un autre homme de la maladie à Terre-Neuve-dire en leur refusant un traitement pour un problème de veine qui a été appelé insuffisance chronique veineuse céphalo-rachidien, ou CCSVI, équivaut à une discrimination.

    Un médecin italien a récemment réclamé des veines du cou rétréci causer ou de contribuer à la SP et le déblocage eux pourrait aider à traiter la maladie, mais la procédure n'est pas offerte au Canada que la communauté médicale attend pour les grands essais cliniques et études visant à vérifier la théorie.

    Jenna Machala, un agent immobilier la région de Vancouver qui est parmi les patients de préparer une plainte de la Colombie-Britannique Tribunal des droits contre la santé de la province du ministère, a déclaré personnes atteintes de SP ne peut pas se permettre d'attendre que les gouvernements de donner le feu vert pour le traitement.

    «J'ai des amis qui n'ont pas le temps d'attendre pour eux de faire leur choix et de faire leurs études aveugle, Machala déclaré dans une interview.

    «Nous sommes la mendicité à chacun de vous à nous. C'est comme si nous sommes noyés et personne ne veut nous jeter un gilet de sauvetage."

    Machala a déclaré la plainte fera valoir patients atteints de SEP sont victimes de discrimination parce que, dit-elle, le même type d'angioplastie à ballonnet utilisés dans le traitement expérimental CCSVI est disponible pour les patients souffrant d'autres troubles médicaux.

    Elle a eu une réunion avec un avocat du tribunal au cours de la dernières semaines, comme elle rassemble le matériel de sa demande et encourage les autres patients à signer. On ne sait pas combien de temps le tribunal puisse entendre l'affaire.

    Dans l'intervalle, Machala, qui ont subi des tests dans une clinique médicale privée à Vancouver et a montré des signes de veines réduit, a déjà réservé un voyage en Pologne le mois prochain pour que la procédure s'y fait.

    Mark Lane, un patient MS à Holyrood, NL, envisage également de déposer une plainte relative aux droits si, comme il attend, un chirurgien vasculaire, il est sur le point d'refuse le mois prochain pour planifier la procédure.

    La théorie CCSVI a attiré l'attention dans le monde entier l'an dernier, le Dr Paolo Zamboni de l'Italie promu sa demande que la SEP est une affection vasculaire plutôt que d'une maladie auto-immune, qui est la croyance communément admise dans la communauté médicale.

    patients atteints de SEP ont organisé des rassemblements à travers le pays cette année appelle à davantage de financement et de recherches sur la théorie, et plusieurs patients ont tenu une conférence de nouvelles à Ottawa la semaine dernière aux côtés de députés libéraux exhortent le gouvernement fédéral de consacrer des fonds de recherche.

    La Société de la sclérose en plaques du Canada a demandé à Ottawa de mettre de côté 10 millions de dollars pour la recherche CCSVI, ainsi que l'organisation al'intention d'annoncer sa propre recherche de subventions plus tard ce mois-ci.

    Mais la réponse des gouvernements fédéral et provinciaux a été largement attendre et voir.

    "Il n'est pas du tout approprié pour aller de l'avant avec une procédure avant qu'il ne soit passé par les commentaires appropriés pour s'assurer que vous êtes prévoyant une procédure qui ne va pas de nuire à des individus et qui se passe réellement à fournir une prestation," ministre de la Santé de la C.-B. , Kevin Falcon, a déclaré la semaine dernière, interrogé sur le traitement CCSVI.

    Le ministre fédéral de la santé a déclaré des chercheurs désireux de tester la théorie doit s'appliquer pour le financement existants.

    Il ya eu plusieurs cas dans lesquels les patients se sont plaints, soit au sein des organes des droits ou les tribunaux que le traitement leur refusant était discriminatoire, et les résultats ont été mitigés.

    Un des exemples les plus médiatisés en cause un groupe de la Colombie-Britannique les parents qui ont fait valoir que refuser leurs enfants autistes une forme de thérapie intensive violé la Charte des droits et libertés.

    Deux Colombie-Britannique tribunaux convenu et ordonné à la province à payer pour la thérapie, mais la Cour suprême du Canada infirmant les décisions prises en 2004, concluant le traitement n'est pas un «service de base médicale" que la loi exige que les gouvernements provinciaux à payer.

    Toujours en Colombie-Britannique, un avocat de Victoria a été contre le refus de la province à payer pour un test de dépistage cancer de la prostate connu sous le nom de PSA, en faisant valoir qu'il est discriminatoire de payer pour les mammographies pour les femmes mais pas les tests de PSA pour les hommes.

    La Colombie-Britannique Droits de l'Homme Tribunal a statué contre Laurie Armstrong. Il a contesté la décision devant les tribunaux, d'abord gagner à l'échelle provinciale Cour suprême, mais de perdre en Colombie-Britannique Cour d'appel.

    Il attend d'entendre si la Cour suprême du Canada entendra l'affaire.

    Armstrong a dit le plus grand défi pour les patients atteints de SEP sera de démontrer qu'ils sont traités différemment que les autres patients qui se font similaires procédures d'angioplastie uniquement parce qu'ils ont la sclérose en plaques.

    "Ils doivent faire leur affaire que le refus d'un service, sinon à la disposition des membres du public, est fondée sur le handicap», a déclaré Armstrong.

    "Mais alors que le gouvernement fera valoir que cela n'a rien à voir avec MS, que c'est la connaissance non prouvées médicaux qui est le facteur déterminant.

    «Si l'on peut établir une composante droits de l'homme, alors ils devraient y aller. Je leur souhaite bonne chance."
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